Cet appel est lancé dans le cadre d’une thèse débutée en janvier 2020 au Muséum national d’Histoire naturelle, et visant à répondre aux questionnements suivants :”Eclairage artificiel nocturne Réduire ses effets sur la biodiversité sous-entend-il de le supprimer? Où? Quand? Via quelle acceptabilité et pour quelle efficacité?” Dans ce cadre, un focus est notamment fait sur l’effet de la pollution lumineuse sur les chauves-souris
Le confinement imposé par le Covid-19 a eu un impact, dans de nombreuses communes, sur la politique d’éclairage nocturne. Certaines font le choix d’éteindre partiellement leurs lampadaires, d’autres poursuivent une politique déjà en faveur de la diminution de la pollution
lumineuse en passant à une extinction totale de l’éclairage. D’autres municipalités répondent négativement aux sollicitations des citoyens ou associations qui demandent l’adoption de mesures de réduction de l’éclairage au vu du contexte actuel.
La situation actuelle constitue une opportunité inattendue pour développer le pan sociologique de cette thèse et répondre à des questions telles que :
Tous ceux qui ont connaissance, dans leur commune ou au sein d’autres municipalités, d’initiatives de modification de la politique d’éclairage nocturne ou de refus de le faire, sont invités à répondre au questionnaire accessible à ce lien :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSes3PtjbFAxue46ADwOQ_ 960kLPyDDhwPiN5lcnkMRsKObhfA/viewform?usp=sf_link
Si vous rencontrez des soucis pour répondre ce questionnaire, souhaitez faire une remarque ou bien transmettre des informations complémentaires, n’hésitez pas à écrire à cette adresse lea.mariton*mnhn.fr
Léa Mariton
Doctorante – Biologie de la Conservation
CESCO – Muséum national d’Histoire naturelle
Station de biologie marine, Quai de la Croix
29900 Concarneau
À propos de l’auteur